Entre plasticité et performance, Opale Mirman s’inspire de traditions, rituels et folklores d’origines diverses pour créer sa propre narration. Ces recherches prennent la forme d’installations semblables à des décors dans lesquels des céramiques reposent. Telles des reliques, ces sculptures viennent raconter des fragments d’histoires au travers des figures de femmes mythologiques, hybrides et monstrueuses. Elles vivent en communauté et protègent tantôt des sources d’eaux magiques, tantôt des roses fantastiques à double têtes.
Par la performances elle incarne ces personnages, en occupant l’espace d’installation et en s’appropriant corporellement la sculpture. Elle explore ainsi les représentations du genre, des sexualités, de l’amour et et crée un univers plastique poétique et tragi-comiques.
Résidence·s d'en-haut
En regard de Danaë, œuvre vidéo monumentale des artistes Angela Detanico et Rafael Lain, Opale Mirman propose une installation autour du mythe de Mélusine en l’église Sainte-Cécile de Ceillac.